Quel est le meilleur de ces souvenirs ? | |
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Histoire 1 | 4 |
Histoire 2 | 4 |
Histoire 3 | 6 |
Histoire 4 | 2 |
Sondage terminé.
Les participations sont closes pour le concours rédactionnel. Je vous invite donc à voter pour votre histoire favorite. Les 4 participants sont ci-dessous.
J'insiste sur le fait que les participations sont anonymes pour plus d'équité. Je vous demande donc je ne pas dire si vous êtes l'auteur de telle ou telle histoire.
Merci à vous, bon vote et que le meilleur gagne !
Les votes sont ouverts jusqu'au dimanche 26 mai à 23h59.
Histoire 1
Tient j'ai un SMS est ce que je veux allez chez Kevin aprés mangé? Ouais ok, comme ça en plus je rate 3 controles,mais d'abord je passe par la Fnac Bastille pour m'acheter Call of Duty Modern Warfare 2.
Bon allez je prend mon fric et je cours (en Bus ) a la Fnac. Bon j'ai mon jeu allez je vais rentrer en metro ce sera plus rapide. Allez je fait mon petit changement a Republique.Je suis a Parmentier et la mon telephone sonne Oh @!#$ c'est ma mere.
Je vais pas répondre je suis censé être en cours.Bon allez je descend, c'est mon arret.Tient qui crie mon nom? Oh @!#$ c'est ma mere!!
Non maman c'est pas ce que tu crois, j'avais pas cours…. Bon allez faut que je file
Histoire 2
Le temps est un peu frais et grisâtre, mais rien n'arrête les jeunes enfants. Moi, mon petit frère, ainsi que mon cousin et sa petite sœur décidons d'aller nous promener, accompagnés de nos parents respectifs.
Il a plu récemment, donc nous nous équipons en conséquence : K-ways, bottes, bonnets… Sauf mon frère, ce jeune rebelle, qui ne prend que des bottes et des habits propres.
Avant de partir, nous passons devant l'enclos des cochons. Étonné par une matière noire et visqueuse qui degouline de l'enclos, et attisé par mon oncle, mon frère s'approche en se penchant vers ce drôle de mélange.
L'occasion est trop belle : ma cousine se saisit d'un morceau de parpaing et le lâche dans les déjections des cochons. Bien entendu, mon frère n'a rien vu, et se retrouve le visage tartiné de bouse
De cette mésaventure résulte des pleurs mêlés aux éclats de rires, et surtout un souvenir impérissable.
Histoire 3
Roger : « On est grillé me fit-il discrètement en me désignant une serveuse qui nous regardais. »
Moi : « Mais non t'inquiète j'ai une idée. »
Mon amis peu rassuré abandonna tout de même son verre sur la table et me priais à voix basse de faire de même. Pendant ce temps la la serveuses continuais a nous suivre des yeux. Je fis ainsi mine de me diriger vers le comptoir pour reposer le verre et payer. Lorsque je fus assez prêt de la sortie je bifurquais brutalement et accélérais l'allure. Cependant la serveuse avait du me suivre car aussitôt je sentis sa main dans mon dos.
La serveuse : « Hé, vous n'avez pas payé ! »
Tout c'est ensuite passé très vite, je ne lui laissais pas d'avantage de temps pour s'exprimer, aussitôt je m'élançais en courant a toute a allure en courant le long de la route bordant la plage. Elle s'était agrippée a mon T-shirt et courrait derrière moi en me demandant de m'arrêter. En d'autre circonstance j'aurais apprécié qu'une fille me courre après, le problème c'est que là je craignait qu'elle finisse par déchirer mon T-shirt a force de le tenir de la sorte. Je forçais l'allure et au bout d'une poignée de seconde elle finis par lâcher prise mais continuais tout de même a rester à ma poursuite. Lorsqu'il commença a y avoir trop de distance entre nous je l'entendis hurler :
La serveuse : « Conn*rd ! Arrêtez le ! »
Jusqu'alors personne d'autre qu'elle n'avais essayée de m'interrompre; je m'apprêtais a croiser un petit couple qui marchait dans mon sens, l'homme était plutôt costaud et je sentis en croisant son regard qu'il hésitait à m'intercepter. Fort heureusement et j'ignore encore pourquoi sa copine fit un geste pour l'écarter de mon chemin. Alors que la serveuse semblait s'essouffler et que je l'avais convenablement distancé je vis un fourgons de gendarme approcher devant moi. Comme par hasard ils fessaient leurs ronde a ce moment et à cet endroit précis. Dans un premier temps j'arrêtais de courir pour ne pas qu'ils me remarquent. Une fois qu'ils furent passé à proximité de moi je poursuivais de nouveau ma course. J'entendis derrière moi la serveuse les interpeller, cependant j'imaginais pouvoir filer le temps que les gendarmes fassent demi tour. Il n'en fut rien, bientôt la fourgonnette freina brutalement à coté de moi, la porte coulissante arrière s'ouvrit dans un fracas et les hommes en bleu m'ordonnèrent sévèrement de monter. Deux minutes plus tard je du rendre le verre, faire des excuses a la serveuse devant un petit amas de personnes qui me regardaient comme si j'étais l'animation de la soirée, et enfin payer l'addition pour moi et le verre de mon pote qui lui avait profité de ma « diversion » pour se tirer en douce. Bref, j'étais le dindon de la farce.
Histoire 4
J'avais à l'époque 4ans et je n'avais presque aucune difficulté à apprendre à faire du vélo.
Mon tonton pratiquait du bmx street, et voulait m'initier. Je m’investissais à fond, et 4mois plus tard je savais cabrer déjà cabrer ! Depuis maintenant 8ans je m'entraîne en free-style.
Mon tonton, ayant des relations avec l'entraîneur du bicross, il lui parla de moi, et pour me préparer il m'emmena au terrain de crosse à proximité de chez moi, m'appris à bien prendre les bosses pour prendre de la vitesse, me communiqua les bases pour bien gérer ma course, etc.
Dès que j'eus l'âge (5ans), il m'emmena au club. L'entraîneur trouvait que j'avais un talent exceptionnel pour mon âge. A l'âge de 8ans, je fis la compétition me donna un énorme tremplin : le tournoi district régional.
J'avais énormément d'avance sur les autres, et un entraîneur d'un grand club m'a remarqué et voulue de moi dans son club. Bien entendue, j’acceptais étant donné que c'était pas très loin de chez moi.
J'ai malheureusement dû quitter ce club à l'âge de 10ans à cause d'un déménagement.
Depuis, j'ai fait bien du chemin en bmx race, jusqu'à maintenant courir pour le tournoi Européen où j'ai été très bien classé à l'âge d'11ans !
[Edité le 21/05/2013 à 10:14]
L'imagination n'a pas de limite. La seule limite, c'est vous !
C'est pas parce qu'on a soif d'amour qu'il faut prendre la première gourde qui passe.