Le café,
de doux arômes et de fièvreuses pensées s'y échappent,
Au café,
de tous les hommes et mafieuses reniées y débattent,
Pourtant,
Ce décor sombre et lugubre ne cache-t-il quelque secret,
Autant,
Dans cette pénombre insalubre, tout se sait dévoilé
Ainsi,
Vécut une femme à la beauté invincible et au regard pénétrant,
Et voici,
Parut elle dans d'indicibles yeux agards et vacillant,
Mais,
Son regard en emportait plus d'un sur les terres patientes,
Malgré,
son départ qui menaçait plus d'un de malaises latents
"C'est lui, mon problème, c'est lui, le responsable
Je le montre et l'affiche, la cause de tous mes maux
C'est eux, mes maux, c'est eux, et leur sable
Je démontre aux caniches qui osent balayer leurs hauts"
Alors,
Elle but une gorgée, avale en douceur,
Alors,
Ce fut la tombée, pale de froideur
"C'est une addiction, caniches, c'est une addiction,
Ce gout pénétrant et ses ardentes caresses sur notre langue,
C'est une addiction cette tasse, c'est une addiction,
Lorsque ma langue quitte votre violente ivresse"
Enfin,
Elle pris ses violons et s'en alla
Par faim,
Elle quitta ses étalons et vacilla.
Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément.
Thijeanlouis <3
