luke74
12-06-2008 à 13:40:13
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Chapitre 11
J'avançait depuis 5 minutes dans le centre commercial, passant devant des boutiques qui m'étais familières comme Micromania, on l'on pouvait encore tester GTA IV, la boutique Quicksilver qui venait d'ouvrir et j'en passe…
Quand soudain des cris retentissaient du parking. Mais oui le parking ! C'étais ma seul solution pour partir d'ici ! Je courus vers les porte qui menaient au parking, mais c'étaient des portes automatiques et sans électricité, elles n'allaient pas s'ouvrir.
Bien sur je pouvais tirer dessus, mais c'étaient des portes blindés, pourquoi avaient-ils mis des portes blindés pour un centre commercial ? Mais j'avais toujours ma grenade ! Les portes n'allaient pas résister a ça ! Je dégoupilla ma dernière grenade et courus le plus loin possible .
BOUM !!!!!!!
J'avais raison, la porte avait exploser, mais je vis quelque choses qui me glaça le sang de terreur, il y avait une deuxième porte !
Mais comment j'allais faire pour sortir d'ici ? Où étaient mes amis et mon frère ?
Chapitre 12
Bon, je n'avait pas 36 solutions, je devait remettre le courant pour sortir d'ici, et secourir la personne qui avait crier qui, j'espère, n'était pas déjà morte.
Remettre le courant, oui mais comment ?
Pendant que je réfléchissait a la solution, un grand bruit me sortit de ma réflexion, ça provenait de la port blindée ! Je courus pour voir ce qu'il se passait et quand j'arrivait sur les lieux, je vis un gros Hummer H3, tout noir, des pieux en fers avaient été installés sur les pares-choc et sur les jantes, le toit avait été découpé pour permettre à un tireur de s'installer, et ce tireur, c'était Adrien, qui me disant de monter a l'intérieur, ce que je fit avec grand plaisir. Une fois a l'intérieur, tout le monde me demandaient si j'allait bien, si je n'était pas blessé etc..
Je leurs répondit que non, j'allais bien, et je leurs demandait où on allait, maintenant.
Cyrielle (qui était au volant) : J'en sais rien, faudrait déjà qu'on trouve un abri pour nous reposer.
Adrien : On peut aller chez moi
Loïc : C'est loin ?
Adrien : Non c'est a 15-20 minutes
Cyrielle : Ok, on y va !
Et nous sommes arrivés chez Adrien, une fois là-bas, nous avions décidés de faire de vrais tours de garde, cette fois.
Les premier tour (Adrien et moi) sa déroula sans problème, le deuxième également ( Loïc et Cyrielle) mais au troisième (Loïc et moi), on avait entendu des bruits qui se rapprochaient, des bruits comme des pas, des pas lents, lourds et irrégulier. J'ai tout de suite pensé a des zombie et donc je chargea mon arme, Loïc faisait de même. Il me dit de me cacher, nous allions le prendre en embuscade. Je me cacha donc pendant que mon frère allait prévenir les autres. Seulement les zombies ce rapprochaient et vite. Je sortit de ma cachette et tira sur les zombie, qui étaient au plus une vingtaine, je ne pourrait pas ma les faire seul, et mon frère ne revenait toujours pas !
Chapitre 13
Je tirais sur les zombies depuis cinq minutes, mais des autres zombies arrivaient encore, et sa ne s'arrêtait jamais !
Lorsque Loïc et les autres arrivaient, ils virent le nombre impressionnant de zombies. Mon frère proposa la fuite, chose que tout le monda accepta, nous montèrent donc dans la voiture, je pris place a la place du tireur et tira sur les zombies, ce qui n'était pas la peine car Cyrielle les tuait tous grâce au pieu disposés au devant du Hummer, donc nous avions réussi a nous enfuir. Loïc nous fit remarquer que nous avions plus beaucoup de munitions pour nos armes et que l'essence diminuait vite.
Nous nous arrêtions donc a une station service pour faire le plein et trouver des choses utiles. Nous avions réussi a trouver de l'essence bien sur, mais aussi de la nourriture et des armes blanches, mais pas la moindre cartouche pour nos armes, chose normal dans une station service, donc nous nous remirent en routes. Après plusieurs heures de routes, nous arrivâmes dans un vieux villages dans la campagnes. Après recherche, nous avions trouver 2 vieux fusils a pompe et des munitions de calibre .12, compatibles avec le fusil d'Adrien. Loïc proposa d'aller a la réserve militaire pour refaire le plein, le lendemain. Tout le monde accepta et vu qu'il était tard, nous nous sommes endormis, sans faire de tours de gardes, chose jugée inutile car il n'y avait pas de zombie par ici.
Le lendemain, nous nous mirent en route de la réserve militaire, et quand nous sommes arrivés, il n'y avait plus rien, plus aucune munitions plus rien. Les cadavres avaient étés enlevés et le sang nettoyé.
Cyrielle : Mais pourquoi se donné autant de mal a faire ça ?
Bonne question, c'était une armurerie militaire, pas besoin de la nettoyer ! Surtout maintenant, quand des zombies attaquent de partout ! Mais c'était plutôt bon signe, car si c'était aussi propre, c'est que quelqu'un l'avait fait mais qui ? Et où étaient passés les munitions ? Personne ne le savait. Loïc demanda si il n'avait pas des armes autre part, je lui répondit qu'a la caserne, il devrait en avoir, si les soldats n'étaient pas partit avec tout le stock. Nous roulions donc en directions de la caserne militaire et quand nous sommes arrivés, nous avions vu que ce bâtiment, ou plutôt ces bâtiment, pourraient bien nous servir : il y avait des dortoir, des mirador pour les tours de garde et des munitions, pas énormément, mais c'était déjà ça…
Chapitre 14
Cela faisait une semaine que nous étions dans cette caserne, et nous n'avions aucun zombie ni rien. Nous ne manquions de rien, on avais de la nourriture, des munitions, des véhicules blindés et des dortoirs. Après une semaine passés dans ce camp, nous décidâmes de chercher des survivants a Genève et ses environs, puis la semaine d'après, en France, à Etrembières. La recherche à Genève n'avait rien donné, tout comme celle d'Etrembieres.
On ne savait plus quoi faire, on n'allait quand même pas rester dans cette caserne jusqu'à la fin de notre vie !
Jusqu'à qu'un jour Loïc proposa de chercher la cause de ce désastre, de chercher pourquoi les gens étaient devenus comme sa. C'était une bonne idée, mais par où commencer ? Par les laboratoires des environs, car peut-être que la cause était une erreur de manipulation d'un scientifique. Nous nous mettions donc en route vers les laboratoires les plus proches. Le premier n'avait rien donné, comme le deuxième, idem pour le troisième.
Et des laboratoires, il n'y en avait pas des masses par ici, mis a part les laboratoires d'analyses médicale et sanguins, mais nous avions quand même prit la peine de le fouiller. Rien, rien et toujours rien. Donc nous prîmes la décisions de chercher d'autres laboratoires, d'élargir nos recherches mais il n'y avait aucun laboratoires, ni même de survivants où d'autres choses, tous ce que nous avions trouvés, c'était des zombies, ça il y en avait, encore plus effroyables qu'au début car leurs peau commençait a se décomposer, ce qui les rendaient plus repoussants.
Un jour, je proposa de retourner è la Migros, pour refaire le plein de nourriture (car les stock commençait a baisser sérieusement) et car je me souvint de la voix que j'avais entendu lorsque j'était seul. Donc le lendemain, nous retournâmes au centre commercial le plus grand d'Etrembieres. Moi et Adrien sommes partit a la recherche de cette mystérieuse voix féminine, et Loïc et Cyrielle montèrent pour prendre de la nourriture et du matériel.
Nous avions rendez-vous toutes les demi heures au parking pour que Loïc et Cyrielle dépose leurs trouvailles et pour nous assurer que les autres étaient encore en vies, même si nous étions en contact permanent par talkies-walkies.
Quelque chose clochait mais je ne réussissais pas a savoir quoi, donc je me concentrais sur les recherches qui, encore une fois, ne donnait rien : la fille devait déjà être morte ou elle était déjà partie, mais nous continuâmes tout de même a chercher, on ne savait jamais.
½ heures plus tard, nous retournâmes au Hummer, pour manger et pour voir ce que l'autre groupe avait trouver : de la nourriture, des armes blanches et une PS3 pour ne pas s'ennuyer au camp.
Lorsque soudain un cri résonna dans le centre, c'était la même !
Mais je me rendit compte de ce qui clochait en même temps, choses que je ne n'aurait jamais voulu savoir, les portes blindés avait étés remplacées ! Et elles venaient de ce fermer ! Je demandais alors a mon frère s'il y'avait des zombies a l'intérieur, il me répondit que oui, et pas qu'un peu !
Il fallait a tout prix aller a l'intérieur, pour sauver cette fille !
Mon frère dit que si on rentrait sur le toit, on pourrait aller a l'intérieur ! Oui mais il y avait peut-être encore ce monstre au fusil a pompe que j'avais surnommé le « Némésis », par rapport au célèbre monstre de la série des Resident Evil. Que faire ? Défoncer les portes avec le Hummer ? Il ne résistera pas a 2 portes. Escalader pour passer par le toit ? Trop risqué.
Et là mon frère a dit que l'on pouvait passé par les portes secondaires, qui elles étaient de simple portes !
Mais pourquoi n'y pas avoir pensé plus tôt ?
Nous nous dirigeâmes donc vers ces portes pour portes assistance a cette voix féminine, qui avait crié il y a 5 minutes…
Alors ?
luke74
15-06-2008 à 15:02:56
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Chapitre 15
Nous sommes entrés dans ce bâtiment, avec nos fusil armés et prêt a tirer. Après avoir fouillé le rez-de-chaussée et le 1er étages, nous montèrent au 2eme qui était aussi le dernier. Pour aller plus vite dans les recherches, nous nous séparâmes en deux groupes : Moi et Cyrielle et de l'autre cotés, Loïc et Adrien. Après plusieurs minutes de recherches nous n'avions rien trouvés et la voix n'avait pas récriée. Loïc proposa de partir tant qu'il était encore temps, j'acceptais a contrecœur.
Nous nous rendîmes donc au parking, lorsque soudain, la voix hurlait encore ! De la même voix féminine ! Nous courûmes donc vers le parking, mais quand nous arrivâmes au parking le Hummer avait disparu ! Et toutes les autres voitures aussi, il n'y avait plus rien ! Loïc a dit que, si on voulait retourner a la caserne, il nous fallait un véhicule, et que pour le moment, il nous faillait un abri. Je proposais ma maison, car elle n'était pas trop loin et qu'il y avait de la nourriture a l'intérieur. Le groupe accepta et nous nous mirent en route vers ma maison, après plusieurs longue minutes de marche nous arrivâmes enfin, mais quelqu'un nous attendait…
Chapitre 16 (Long dialogue)
C'était le Général Vogdanof !
Loïc : Vous ? Mais que faites vois là ?
Général : On est venu vous cherchez .
Loïc : Et pourquoi ? On se débrouille bien tous seul.
Général : Je sais, mais mes hommes on repérés une importante signature thermique qui approche .
Moi : Et vous estimez a combien le nombre de zombies ?
Général : Entre 350 000 et 400 000
Adrien : On ne pourra jamais tous les tuer !
Général : C'est pour ça que nous sommes venus vous cherchez .
Cyrielle : Et si on refuse ?
Général : Vous mourrez, si vous acceptez, on vous donnera des armes, de la nourriture et de la sécurité . Si vous acceptez, montez dans l'helico derrière moi.
On avait pas le choix, on devait monter dans cet helico, notre survie en dépendait .
Après plusieurs heures de vol, le pilote de l'hélico brisa le silence qui régnait
Pilote : Ici Black Hawk 4, vous me recevez, Base 3 ?
Radio : 5/5 Black Hawk
Pilote : Je demande autorisation d'atterrir.
Radio : Bien reçu Black Hawk 4 vous pouvez atterrir sur la piste n°22
Pilote : Bien compris, terminer .
Alors l'hélico se posa sur la piste d'atterrissage n°22, le pilote nous guida dans une petite salle, qui ressemblait a une salle d'autopsie : 9 tables d'autopsie en fers, dont 5 étaient occupés par des cadavres, lorsque que soudain, je ressentit une vive douleur au crane et tout devint noir, le pilote laissa échapper un « désolé » qui nous était apparemment destiner…
Soldat : Sauf votre respect Général, pourquoi les avez vous laissez revenir ?
Général : C'est pas vous qui ne vouliez pas les laisser partir, la dernière fois ?
Soldat : Si, mais vous ne les avez pas empêchez la dernière fois.
Général : Oui mais la on est en manque de cobayes, pour les expérience du vaccin contre ce virus…
Chapitre 17
Je me réveilla dans une petite pièce aux murs blancs, tout blanc, moi même habillé de blanc. La pièce ne semblait ne pas avoir de porte, ni d'autre issus, la seul chose qu'il y avait, c'était un lit et un tabouret. J'essayais de me rappeler comment j'étais arriver là quand soudain une voix sortit de nul part :
-Mr Greg Bertherin ?
-Hein ? Qui parle ?
-Restez calme Mr Bertherin.
-Non ! Je veux sortir !
-Vous voulez sortir ? Allez-y, sa grouille de monstres et vous n'avez plus d'armes.
Il avait raisons, ces enfoirés m'avaient pris mes armes, et tout mon équipement. Il fallait que je le récupère, que je retrouve le reste du groupe et s'enfuir…
Alors que je réfléchissais a un plan pour sortir, une trappe s'ouvrit au plafond, et une grosse araignée tomba dans la pièce. Ces salauds savaient que je détestais les araignées !
La peur pris place en moi, je ne savais plus quoi faire, la vue de cet ignoble arachnide me pétrifiais, lorsque soudain, la solution : le tabouret ! Je pris le pris et frappais l'araignée avec les pieds du tabouret. Et la, la voix repris :
-Mais non ! Il fallait la laisser vous mordre !
-Bien sur, j'allais la laissée faire !
CLIC !
Une porte s'ouvrit et elle donnait sur une petite salle, avec tout mon équipement dedans !
Je me précipitais a l'intérieurs, m'équipais, et dit :
-Et maintenant ?
-Un peu de patience Mr Bertherin …
CLIC le même bruit qu'avant, nouvelle porte qui donnait sur un long couloir cet fois.
J'avançais dans ce couloir, quand soudain, trois portes s'ouvrit autour de moi, et trois silhouettes humaines en sortaient, c'était Loïc, Cyrielle et Adrien !
Mais soudain une 4eme porte s'ouvrit …
? alors ?
luke74
21-06-2008 à 12:04:25
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La suite !
Chapitre 18
Cette porte ne menait pas a une autre chambre, mais à l’extérieur, plus précisément dans une forêt. Nous nous aventurâmes dans cette forêt dense, avec un équipement minimum et la peur au ventre. Après plusieurs minutes de marches, nous trouvâmes une maison en ruine, une maison qui me rappelait quelque chose mais je ne savais pas quoi.
Nous avions décidés d’y établir notre campement pour la nuit, voire notre campement définitif car il semblait ne pas avoir trop de zombies aux alentours. Après avoir défini les tours de gardes (moi en 1er, Loïc en 2e et Adrien en 3e ), tous le monde s’endormit sauf moi.
Je montais donc au 3e étages pour voir arrivé les zombies de loin, mais je n’étais vraiment pas rassuré du tout, car si une horde de zombies décidait de nous attaqués ici, on ne pouvait pas fuir, sauf en escaladant la montagne qui se trouvait au Sud de la cabane. Après 1h30 de garde, je m’apprêtais a réveillé Loïc, lorsque des bruits de pas et des respirations bruyantes se sont fait entendre. ILS étaient là. Je pris mon fusil, attachais la lunette de précision et regardais au travers. Je vis une vingtaine de zombies, mais ils n’étaient pas comme d’habitude : leurs peaux commençaient a se décomposé du fait qu’ils étaient mort, des vers sortaient de part et d’autres de leurs corps et des mouches leurs tournaient autour. Ils commençaient a nous encercler, mais nous n’avions pas assez de munitions pour nous défendre, allions-nous mourir ici et maintenant ?
Chapitre 19
Les zombies se rapprochaient de plus en plus et ne savions pas quoi faire. Lorsque soudain j’eus une idée : vu que j’avais toujours mes habits militaires sur moi (en effet : au début de cette aventure, j’étais allé en la forêt pour m’entraîner au camouflage), je pouvais aller dans la forêt que nous avions traversé et me camoufler pour attirer les zombies, ce qui laissait le temps aux autres de s’enfuir. Au début, ils n’étaient pas vraiment d’accord car c’était trop dangereux pour moi, mais vu l’allure de ces monstres, c’était soit moi, soit tout le groupe et ils me laissèrent sortir.
Je ne pris qu’un Sig Sauer P226 pour ne pas m’encombrer et sortis du bâtiments en tirant trois balles en l’air pour attirer les zombie. Ils se retournèrent tous d’un coup et commencèrent à courir en ma direction, vite, trop vite. J’eus a peine le temps de me cacher dans un buisson qu’ils y étaient déjà.
Ils passèrent a quelques centimètres de moi mais ne me trouvèrent pas, je ne bougeais pas, je retenais ma respiration pour ne pas me faire repérer. Je vis de loin le reste du groupe qui s’enfuyait dans la direction opposé, j’étais seul et vraiment dans une mauvaise position.
Quelques minutes plus tard les zombies étaient partis, mais mes compagnons aussi, je décidais donc de les chercher, en vain, je ne les trouvèrent pas et la nuit approchait, il me fallait trouver un abri, et de la nourriture car cela faisait deux jours que je n’avait pas manger, j’étais exténuer, je retournais dans la cabane où j’étais il y à peine trois heures et m’y endormais….
Cool, n'est-ce pas ?