Voici la suite !
Chapitre 7
Donc j’allais mourir ici, dévoré vivant par un de ces monstres assoiffés de sang et je ne pouvais rien faire pour empêché cela…
Quand soudain, je me souvint du couteau avec lequel j’avais tué le 1er zombie ! Je le sortit et le planta dans ce monstre qui tomba a terre sans se relever. Je pris mon fusil, enleva la cartouche qui était coincé dans le canon et tira sur le zombie qui attaquait Adrien, sa tête explosa et le reste de son corps tomba vulgairement sur le sol
Adrien : - Merci !
Moi : - Tu me remercieras plus tard, là on doit partir et vite !
Après ¼ d’heure en courant, nous étions exténué mais les zombie, eux courraient encore
Moi : - @!#$, ils sont coriaces !
Adrien : - Ouais, et on n’a plus beaucoup de munitions
Moi : - On a pas le choix, je doit utiliser sa !
Et là je sortit une grenade de ma poche, la dégoupilla et la lança en directions du groupe de zombie
Moi : - A COUVERT !
BOUM !!!!! Un bruit épouvantable résonna dans toute la ville de Gaillard . Les zombie étaient presque tous morts mais il en restait quelques un
Adrien : - J’ai plus de munitions !
Moi : - moi non plus !
Adrien : - On fait quoi ?!
Moi : - On va dans cette maison et on se barricade !
Adrien : - Ok, on y va !
Une fois a l’intérieur, nous avions barricadés toutes les entrés sauf une, en cas de départ précipité
C’était une maison banale, a l’intérieur il trouvèrent deux haches qui pourraient bien nous servirent et aussi des cartouches de calibre .12 pour Adrien
Adrien : - C’est bizarre ya des munitions mais pas d’armes !
Moi : - Ouais c’est pas faux c’est louche ça !
La réponse était la devant nous, encore un de ces monstres, mais celui-la était armé d’un fusil a pompe ! Il chargea son arme et tira sur nous .
Adrien : - Oula, @!#$ sa va chaud a le buter celui-le !
Moi : - Ouais il m’a pas l’air comme les autres !
En effet ce monstre était beaucoup plus grand que les autres et plus agressif aussi, beaucoup plus rapide également et nous avions, pour le tuer, que quelque munitions de cal .12 et des haches.
Lorsque soudain, un hélico passa au dessus de la maison, il volait très bas a en juger par le bruit. Le bruit avait distrait notre ennemis et nous en avions profiter pour fuir en sortant par l’entrée non-barricadé .
Une fois dans le jardin, nous avons courus le plus vite possible vers le grillage, on l’escalada et devant nous se trouvait une forêt, nous nous précipitions dedans et nous nous sommes cachés dans des hautes herbes
Qu’allait-il se passer pour eux et pour l’autre groupe ?
Chapitre 8
Une fois que le monstre était partit et que la situation devenait plus calme, nous sommes sortit de notre cachette.
Adrien : Et maintenant ?
Moi : Je sais pas, ya pas des amis que tu voudrait aidé ?
Adrien : Non, ils sont déjà tous mort …
Moi : Ah…Bon, déjà il faut retourné a la voiture pour reprendre des munitions et mangé un morceau
Adrien : Oui c’est vrai que je crève la dalle !
Donc nous sommes retournés a la voiture et nous nous sommes armés convenablement : fusil d’assaut, pistolet 9mm et calibre .45, fusil a pompe et des munitions dans les sacs a dos (j’en avais pris a la réserve militaire)
Moi : Prêt ?
Adrien : Prêt !
Et nous sommes partit a la recherche de mon frère et de sa copine, mais après plusieurs heures de recherche, nous n’avions rien trouvé.
Moi : Mais @!#$, ils sont passés où ?
Adrien : Allons voir dans ce bunker !
En effet nous avions vu un bunker, tout barricadé, nous sommes entrer et on vis des cadavres de gens qu’on connaissaient, d’autre pas, des arme de fortune : des haches, de couteau il y avait même une tronçonneuse pleine de sang.
Adrien : @!#$, c’est degueu ! Il s’est passé quoi ici ?
Moi : Apparemment, ils ont étés débordés par les zombies et ils se sont fait tué.
Adrien : Et je crois qu’il reste des zombies, faudrait pas traîner trop longtemps !
Moi : Ouais, on prend ce qu’on peut, et on se tire !
Nous avions réussi a trouvé de la nourriture et des armes blanches .
CLANG !
Adrien : C’était quoi ce bruit ?
Moi : (en chargeant mon fusil d’assaut) je sais pas, allons voir !
Le bruit provenait de la pièce juste en face de nous, Adrien l’ouvrit et on rentrait dedans. Il y avait un survivant !
Moi : Ne vous inquiéter pas, on est là
??? : C’est trop tard… je vais mourir …
Adrien : Non ! Il y doit avoir des choses pour vous soigner
??? : Non … il n’y a rien …fuyez avant qu’ils ne vous trouvent…
Et il mourut sans que l’on puissent faire quoi que se soit .
Adrien : Bon ben moi je vais l’écouter, et me tirer d’ici !
Moi : T’as raison, de toute manière mon frère n’est pas ici.
Alors nous sommes sortit et avons continué notre route .
Adrien : C’est bizarre, y’a personne …
Moi : Euh… Depuis le début on est seul .
Adrien : Je sais mais là y’a vraiment personne pas même un zombie !
Moi : Ouais t’as raison, sa fait longtemps qu’on en a pas vu un seul .
Adrien : Bon remarque, c’est mieux comme sa !
Moi : Ouais c’est clair !
Alors nous continuâmes notre route…
Chapitre 8.2
Loïc et Cyrielle étaient enfin arriver à cette fameuse «Base 3», qui ressemblait plus a un aéroport qu’a une base militaire. Le militaire qui était avec eux dans l’hélico, les emmena dans une chambre avec tout les autres rescapés de cette « guerre » et il n’y en avait pas des masses …
Mais Loïc s’inquiétait surtout pour son frère, il se demandait s’il était encore vivant, s’il allait bien etc..
Cyrielle : Ne t’inquiète pas, je suis sure qu’il va bien !
Loïc : Faut trouver un moyen de sortir !
Cyrielle : Mais comment ?
Loïc : Aucune idée, doit bien y’avoir un moyen ! Je vais lui demander dit-il en désignant le garde
Loïc : Euh.. Monsieur
Garde : Oui ? Un problème ?
Loïc : Oui : on voudrait retourné dehors pour secourir mon frère.
Garde : Désolé monsieur, c’est impossible.
Loïc : Mais vous n’avez pas le droit de nous retenir contre notre gré !
Garde : Dans ce cas, il faut s’adresser au Colonel. Suivez moi.
Alors ils le suivirent jusqu’à devant une porte où il était écrit « Général Vogdanof »
C’est bien un nom de russe, ça ! pensa Loïc, en entrant dans la pièce
Général : Alors comme sa on veut sortir de la Base ?
Loïc : Oui monsieur, je veut aller chercher mon frère, pour le sortir de cet enfer !
Général : Bon aucun problème, Soldat, équiper ces deux jeunes et laisser les sortir
Soldat : Mais monsieur …
Général : Taisez vous ! Qui-est ce qui prend les décisions ?
Soldat : Vous monsieur !
Général : Bien ! Maintenant, escortez ces jeunes au sas de sorti, équipez les et laissez les sortir.
Soldat : Oui monsieur !
Le soldat les guida jusqu’au sas d’équipement, Loïc pris un M4 et un Beretta M92, Cyrielle pris juste un couteau car elle détestait les armes a feu
Ils montèrent dans un hélico lourdement armé, comme celui qui les avaient pris la 1er fois et ils partirent ….
Pendant ce temps :
Soldat : Pourquoi les laisser vous partir, Général ?
Général : Ils le voulaient.
Soldat : Mais vous savez très bien qu’il vont mourir, là bas ?
Général : Et alors ? C’est de la famille a vous ?
Soldat : Non, mais …
Général : Il n’y a pas de mais ! Ce n’est pas une perte énorme pour nous ! C’est même un avantage !
Le soldat partit, choqué par la cruauté du Général …