[HS] [FIC] L'invasion.

  • Avatar de 54130

    54130

    30-05-2008 à 21:01:33

    pas mal !
  • Avatar de calimerOo0

    calimerOo0

    30-05-2008 à 21:20:32

    Ah okay le gars qui se croit sur JV :)
    (jay pas lue)
  • Avatar de ramireze2

    ramireze2

    30-05-2008 à 21:47:13

    ben j vx just t dir ke j suit tt simplement un gars il aime bcp la vie et il lui dit a ces persOnnes: pas d'adresse ici, merci.
  • Avatar de calimerOo0

    calimerOo0

    31-05-2008 à 16:43:15

    En français jeune homme ?
  • Avatar de qqndu68

    qqndu68

    31-05-2008 à 21:24:17

    pas mal pas mal mais il faut aimer les hitoires comme ça et moi j'aime plutot les policiers genre hercule poirot don je met 15/20 (tu peux commencer a chercher des adresses de maisons d'edition :-p :-d
  • Avatar de luke74

    luke74

    02-06-2008 à 16:54:42

    Voici la suite ! :-d


    Chapitre 7

    Donc j’allais mourir ici, dévoré vivant par un de ces monstres assoiffés de sang et je ne pouvais rien faire pour empêché cela…
    Quand soudain, je me souvint du couteau avec lequel j’avais tué le 1er zombie ! Je le sortit et le planta dans ce monstre qui tomba a terre sans se relever. Je pris mon fusil, enleva la cartouche qui était coincé dans le canon et tira sur le zombie qui attaquait Adrien, sa tête explosa et le reste de son corps tomba vulgairement sur le sol
    Adrien : - Merci !
    Moi : - Tu me remercieras plus tard, là on doit partir et vite !
    Après ¼ d’heure en courant, nous étions exténué mais les zombie, eux courraient encore
    Moi : - @!#$, ils sont coriaces !
    Adrien : - Ouais, et on n’a plus beaucoup de munitions
    Moi : - On a pas le choix, je doit utiliser sa !
    Et là je sortit une grenade de ma poche, la dégoupilla et la lança en directions du groupe de zombie
    Moi : - A COUVERT !
    BOUM !!!!! Un bruit épouvantable résonna dans toute la ville de Gaillard . Les zombie étaient presque tous morts mais il en restait quelques un
    Adrien : - J’ai plus de munitions !
    Moi : - moi non plus !
    Adrien : - On fait quoi ?!
    Moi : - On va dans cette maison et on se barricade !
    Adrien : - Ok, on y va !
    Une fois a l’intérieur, nous avions barricadés toutes les entrés sauf une, en cas de départ précipité
    C’était une maison banale, a l’intérieur il trouvèrent deux haches qui pourraient bien nous servirent et aussi des cartouches de calibre .12 pour Adrien
    Adrien : - C’est bizarre ya des munitions mais pas d’armes !
    Moi : - Ouais c’est pas faux c’est louche ça !
    La réponse était la devant nous, encore un de ces monstres, mais celui-la était armé d’un fusil a pompe ! Il chargea son arme et tira sur nous .
    Adrien : - Oula, @!#$ sa va chaud a le buter celui-le !
    Moi : - Ouais il m’a pas l’air comme les autres !
    En effet ce monstre était beaucoup plus grand que les autres et plus agressif aussi, beaucoup plus rapide également et nous avions, pour le tuer, que quelque munitions de cal .12 et des haches.
    Lorsque soudain, un hélico passa au dessus de la maison, il volait très bas a en juger par le bruit. Le bruit avait distrait notre ennemis et nous en avions profiter pour fuir en sortant par l’entrée non-barricadé .
    Une fois dans le jardin, nous avons courus le plus vite possible vers le grillage, on l’escalada et devant nous se trouvait une forêt, nous nous précipitions dedans et nous nous sommes cachés dans des hautes herbes
    Qu’allait-il se passer pour eux et pour l’autre groupe ?




    Chapitre 8

    Une fois que le monstre était partit et que la situation devenait plus calme, nous sommes sortit de notre cachette.
    Adrien : Et maintenant ?
    Moi : Je sais pas, ya pas des amis que tu voudrait aidé ?
    Adrien : Non, ils sont déjà tous mort …
    Moi : Ah…Bon, déjà il faut retourné a la voiture pour reprendre des munitions et mangé un morceau
    Adrien : Oui c’est vrai que je crève la dalle !
    Donc nous sommes retournés a la voiture et nous nous sommes armés convenablement : fusil d’assaut, pistolet 9mm et calibre .45, fusil a pompe et des munitions dans les sacs a dos (j’en avais pris a la réserve militaire)
    Moi : Prêt ?
    Adrien : Prêt !
    Et nous sommes partit a la recherche de mon frère et de sa copine, mais après plusieurs heures de recherche, nous n’avions rien trouvé.
    Moi : Mais @!#$, ils sont passés où ?
    Adrien : Allons voir dans ce bunker !
    En effet nous avions vu un bunker, tout barricadé, nous sommes entrer et on vis des cadavres de gens qu’on connaissaient, d’autre pas, des arme de fortune : des haches, de couteau il y avait même une tronçonneuse pleine de sang.
    Adrien : @!#$, c’est degueu ! Il s’est passé quoi ici ?
    Moi : Apparemment, ils ont étés débordés par les zombies et ils se sont fait tué.
    Adrien : Et je crois qu’il reste des zombies, faudrait pas traîner trop longtemps !
    Moi : Ouais, on prend ce qu’on peut, et on se tire !
    Nous avions réussi a trouvé de la nourriture et des armes blanches .
    CLANG !
    Adrien : C’était quoi ce bruit ?
    Moi : (en chargeant mon fusil d’assaut) je sais pas, allons voir !
    Le bruit provenait de la pièce juste en face de nous, Adrien l’ouvrit et on rentrait dedans. Il y avait un survivant !
    Moi : Ne vous inquiéter pas, on est là
    ??? : C’est trop tard… je vais mourir …
    Adrien : Non ! Il y doit avoir des choses pour vous soigner
    ??? : Non … il n’y a rien …fuyez avant qu’ils ne vous trouvent…
    Et il mourut sans que l’on puissent faire quoi que se soit .
    Adrien : Bon ben moi je vais l’écouter, et me tirer d’ici !
    Moi : T’as raison, de toute manière mon frère n’est pas ici.
    Alors nous sommes sortit et avons continué notre route .
    Adrien : C’est bizarre, y’a personne …
    Moi : Euh… Depuis le début on est seul .
    Adrien : Je sais mais là y’a vraiment personne pas même un zombie !
    Moi : Ouais t’as raison, sa fait longtemps qu’on en a pas vu un seul .
    Adrien : Bon remarque, c’est mieux comme sa !
    Moi : Ouais c’est clair !
    Alors nous continuâmes notre route…



    Chapitre 8.2

    Loïc et Cyrielle étaient enfin arriver à cette fameuse «Base 3», qui ressemblait plus a un aéroport qu’a une base militaire. Le militaire qui était avec eux dans l’hélico, les emmena dans une chambre avec tout les autres rescapés de cette « guerre » et il n’y en avait pas des masses …
    Mais Loïc s’inquiétait surtout pour son frère, il se demandait s’il était encore vivant, s’il allait bien etc..
    Cyrielle : Ne t’inquiète pas, je suis sure qu’il va bien !
    Loïc : Faut trouver un moyen de sortir !
    Cyrielle : Mais comment ?
    Loïc : Aucune idée, doit bien y’avoir un moyen ! Je vais lui demander dit-il en désignant le garde
    Loïc : Euh.. Monsieur
    Garde : Oui ? Un problème ?
    Loïc : Oui : on voudrait retourné dehors pour secourir mon frère.
    Garde : Désolé monsieur, c’est impossible.
    Loïc : Mais vous n’avez pas le droit de nous retenir contre notre gré !
    Garde : Dans ce cas, il faut s’adresser au Colonel. Suivez moi.
    Alors ils le suivirent jusqu’à devant une porte où il était écrit « Général Vogdanof »
    C’est bien un nom de russe, ça ! pensa Loïc, en entrant dans la pièce
    Général : Alors comme sa on veut sortir de la Base ?
    Loïc : Oui monsieur, je veut aller chercher mon frère, pour le sortir de cet enfer !
    Général : Bon aucun problème, Soldat, équiper ces deux jeunes et laisser les sortir
    Soldat : Mais monsieur …
    Général : Taisez vous ! Qui-est ce qui prend les décisions ?
    Soldat : Vous monsieur !
    Général : Bien ! Maintenant, escortez ces jeunes au sas de sorti, équipez les et laissez les sortir.
    Soldat : Oui monsieur !
    Le soldat les guida jusqu’au sas d’équipement, Loïc pris un M4 et un Beretta M92, Cyrielle pris juste un couteau car elle détestait les armes a feu
    Ils montèrent dans un hélico lourdement armé, comme celui qui les avaient pris la 1er fois et ils partirent ….


    Pendant ce temps :
    Soldat : Pourquoi les laisser vous partir, Général ?
    Général : Ils le voulaient.
    Soldat : Mais vous savez très bien qu’il vont mourir, là bas ?
    Général : Et alors ? C’est de la famille a vous ?
    Soldat : Non, mais …
    Général : Il n’y a pas de mais ! Ce n’est pas une perte énorme pour nous ! C’est même un avantage !
    Le soldat partit, choqué par la cruauté du Général …
  • Avatar de luke74

    luke74

    02-06-2008 à 16:55:52

    PS : Pour les maisons d'éditions c'est un peu tôt non 8O
  • Avatar de kevsub

    kevsub

    04-06-2008 à 16:29:14

    tu me rappelle un ancien de zebest qui est parti (comme tous…) est a écrit une longue histoire sur le forum :
    http://www.zebest-3000.com/forums/viewtopic-p16121-1.html#p16121

    (voilà juste une chtite parenthese x) )
    Nancy <3

  • Avatar de luke74

    luke74

    08-06-2008 à 14:06:20

    La suite !


    Chapitre 9

    Adrien et moi marchions silencieusement depuis plusieurs heures, dans les rues désertes de Gaillard quand Adrien pris subitement la parole
    Adrien : Il faut qu'on trouve un endroit pour dormir !
    Moi : Ouais … mais où ?
    Adrien : On pourrait aller chez moi !
    Moi : De toute façon, on a pas trop le choix … Allons-y.
    Une fois chez lui nous avions organisé des tours de gardes : 4 heures il dors, je surveille, 4 je dors, il surveille
    Après plus de 8 heures comme sa, nous nous étions tout les deux endormis et nous nous sommes fait réveiller par un bruit d'hélico
    Adrien : @!#$ mais y'en a combien des hélicos ?
    Greg : je sais pas mais c'est cool parce que hélico = survivant !
    Adrien : ouais c'est pas faux
    Après avoir manger et nous être préparés, nous sommes sortit chercher des survivant et du matériel de survie mais nous avions décidés d'élargir nos recherche plus vers le Sud, donc vers le Pas-De-L'Echelle, mais d'abord, nous devions faire une escale a la Migros d'Etrembieres, qui devait grouiller de zombie, vu le nombre de personnes qu'il y a chaque jour.
    Donc une fois a l'intérieur, nous marchions discrètement pour ne pas nous faire repérer par ces créatures infâmes et assoiffés de sang.
    Moi : Bon, on se sépare, tu prend un max de truc et rendez-vous ici dans ½ heures
    Adrien : ok pas de problème
    Moi : Si t'en a un tu me contacte par talkies-walkies
    Adrien : ok t'inquiète !
    Je me dirigeait vers le rayon communication pour prendre des talkies-walkies de rechanges etc.. quand je vis deux zombies qui courraient a vive allure vers moi, je les esquiva et leurs tira dessus, ils s'écroulèrent.
    Je finis de prendre des choses qui pourraient nous être utile quand soudain Adrien me contacta :
    Adrien : Viens, j'ai besoin de toi là GROUILLE !
    Moi : T'es où ?!
    Adrien : Au rayon jeux vidéo !
    Je courus vers ce rayon et secouru mon ami d'une mort certaine Moi : Vite, faut partir !
    Adrien : On peut pas ! Ils bloquent la sortit !
    Moi : Allons sur le toit, j'ai des cordes que j'ai piqué a Go Sport !
    Adrien : ok on y va !
    Alors, nous courions vers le toit mais les zombies nous poursuivaient toujours. Lorsque nous arrivions sur le toit nous virent une chose que nous pensions ne plus jamais revoir…




    Chapitre 9.2

    L'hélico posa Loïc et Cyrielle près du bunker où ils avaient étés pris.
    Pilote : Le satellite a repéré du mouvement humain près de la Migros, à Etrembières. Vous devriez aller voir par là-bas.
    Et il partit, sans doute pour retourner a la «Base 3»
    Ils se mirent en route pour aller à la Migros, comme l'avait conseiller le pilote, car si Greg n'était pas là-bas, ils pourraient au moins se ravitailler et prendre du matériel. Après quelques heures de marche, ils étaient extenués et la nuit tombait. Il entrèrent dans une maison pour se reposer, à l'intérieur ils ne trouvèrent rien qu'ils puissent les aider, a part un peu de nourriture qu'ils mangèrent sans appétit car ils se demandaient si Greg était encore vivant, s'il avait pu se trouver un abri, s'il avait trouver un survivant…
    Cyrielle : Je suis sûre qu'il va bien, il était armé jusqu'au dents !
    Loïc : Les armes ne font pas tout…Et puis il n'avait pas énormément de munitions…
    Cyrielle : Demain on ira a la Migros et je suis sûre qu'il sera là-bas, sain et sauf !
    Loïc : Ouais… J'espère …
    Sur ces mots, ils s'endormirent …
    Lorsqu'ils se réveillèrent le lendemain, le soleil s'était déjà levé, il devait être 13H00, voir 14H00. Ils se mirent en route vers la Migros, là où ils espéraient trouver Greg, ou même d'autres survivants. La route leurs prit plusieurs heures, mais c'était bizarre car ils ne croisèrent aucun zombies, ni rien d'ailleurs .
    Une fois arriver a la Migros, la première chose qu'ils virent, c'est un attroupement de zombies, il y'en avait bien 400 voir 500 même
    Loïc : @!#$ ! Si Greg est là dedans, il ne pourra jamais sortir ! Il faut aller l'aider !
    Cyrielle : Ouais mais si nous on y va, on est mort !
    Loïc : Je ne vais rester là sans rien faire !
    Cyrielle : Et si on passait par le toit ?
    Loïc : Ouais, on peut toujours essayer
    Alors ils coururent vers la façade où il y avait le moins de zombies et escaladèrent le mur, une fois en haut ils virent…






    Chapitre 10

    Je vis une chose que je n'espérais jamais revoir : l'énorme monstre au fusil a pompe !
    Adrien : Oh @!#$ ! Pas lui !
    Moi : Ouais mais on est mieux armés !
    Adrien : Ouais et puis on a du renfort !
    De quoi il parlait là ? Il avait vu où du renfort ? Quand soudain je vis mon frère et Cyrielle qui escaladaient par la mur !
    Moi : Mais …mais …Comment vous nous avez retrouvez ?
    Loïc : On parlera de ça plus tard, pour l'instant on a un monstres qui veut nous tués !
    Mais en lui tirant dessus, on s'étaient rendu compte que nos balles ricochaient sur sa peau !
    Adrien : @!#$, on pourra pas le tuer !
    Loïc : Il faut partir !
    Cyrielle : J'ai fait les cordages, venez !
    Moi : Allez-y, je vous couvre !
    Alors ils descendirent un a un et quand vint mon tour, la corde se cassa !
    Moi : Et @!#$, sa peut arriver qu'a moi ce genre de truc !
    J'étais de nouveau seul, face a ce monstre, je n'avais plus que deux chargeurs mais j'avais encore mon revolver calibre .45 !
    Le monstre fonçait vers moi, je l'esquivait et m'enfuyait par l'échelle qui menait a l'intérieur. Une fois a l'intérieur, je rechargea mon fusil, j'armais mon calibre .45 et je m'avançais seul et silencieux dans l'immensité de ce centre commercial…




    Alors ? :confused:
  • Avatar de 54130

    54130

    11-06-2008 à 10:56:34

    brr ! Il va mourire ?